« Si quelqu’un me demande je veux voir Rome, je lui répondrais quelle Rome veut-il voir ? Il veut voir la Rome ancienne, il veut voir la Rome du XVème siècle, la Rome baroque,  la Rome du XVIIIème siècle, la Rome moderne, quelle Rome veut-il voir ? Par ce qu’il y a plusieurs Rome qui se superposent parce que durant des siècles les romains ont construit bâtiment sur bâtiment sur des ruines existantes à travers lesquels il est possible voir le passé de Rome (Rome construite sur elle-même) ». c’est par cette citation d’un historien d’architecture de Rome que je vais commencer mon  récit de voyage.

groupes facebook G. Bienvenu à Rome

Cartographie de lieux et sites visités par le Groupes   G. Bienvenu à Rome 2015

Je vais vous présenter  Rome à travers le regard d’un jeune étudiant africain d’une école d’architecture qui a découvert par ce voyage d’études à Rome à travers un panel d’images des œuvres  qui m’ont  marqué et qui ont suscité un certain intérêt pour moi  et ce qui,  j’espère va vous pousser  à effectuer un voyage à  Rome. Mon voyage d’études à Rome s’est déroulé du samedi 28 mars au dimanche 5 avril 2015, un voyage très long et pénible puis qu’effectuer par le  bus mais surtout très riche en émotions.  Nombreux sont les grands architectes français qui ont effectué  le même voyage vers les Villes italiennes particulièrement Rome, dans le cadre du « grand prix de Rome ».

Départ de Nantes la nuit du 28 mars 2015, je ne sais pas si le choix de voyager la nuit était voulue les encadrants de l’école, mais moi j’interprète ça de façon très symbolique: c’est-à-dire que dés l’aube du 29 mars 2015, au fur et à mesure qu’on rentrait dans le territoire italien après des longues heures de voyage sans fin dans l’obscurité de la nuit, ce qui m’avait le plus marqué c’était le lever du soleil derrière les collines lointaines du paysage italien (n’es-ce pas Rome qu’on appelle affectueusement la ville aux sept collines).

Tout doucement, la nuit sombre et obscure laissait la place à la clarté et à la lumière du jour, comme si une personne ou le destin retirait les nombreuses couches de voiles qui enveloppait  la nuit, symbole de l’ignorance pour laisser la place au jour symbole de savoir et de la lumière, une façon peut-être pour le corps enseignant  d’extirper les étudiants d’architecture que nous sommes de l’ignorance (obscurité) vers la connaissance et le savoir pour nous ouvrir le yeux aux prodiges qui ont marqué l’histoire de l’architecture  occidentale.

A mesure que le jour se levait et que j’admirais ce beau paysage au visage et à l’ambiance très vieillots, me donnais l’impression de marcher sur le pas des grands personnages qui ont marqués l’histoire de ces territoires, dans ma tête je m’attendais toujours à la surprise d’apercevoir ces personnages que j’ai connu à travers les nombreux films que j’ai regardé et qui ont été tournés dans ces décors.

Vue de Rome à partir de la Villa Médicis

Vue de Rome à partir de la Villa Médicis

Plus ont s’approchait, plus j’étais impatient de découvrir les nombreux bâtiments qu’on a vu  à l’école, dans les livres, dans les nombreux films et documentaires qui symbolisaient la richesse architecturale de l’Italie surtout celle de la renaissance avec les célèbres architectes comme: Michel Ange, Borromini, Bramante, Le Bernin,…

Au fur et à mesure qu’on rentrait dans Rome j’avais l’impression de retourner dans le passé c’est-à-dire des siècles et des siècles en arrière, puisque pour moi, si on  regarde  Rome en faisant abstraction de tout ce qui est progrès techniques et technologiques (automobiles, avions, métros, internet…) et aussi qu’on retire du paysage les rares bâtiments modernes construits dans la ville, on a l’impression que le temps à Rome:  s’est arrêté à la Renaissance voir  à l’Antiquité  surtout en matière de construction, avec ses rues très étroites et pavées,…car on a un sentiment de ruines et antiquités  partout.

C’est pourquoi, pour les architectes qui vivent et travaillent à Rome, il leur très difficile de travailler à Rome? À cause des nombreuses ruines de la Rome antique qui sont enfouies  dans les sols et la politique urbaine de la ville de Rome qui est faite de sorte à ce que rien ne viennent entacher l’esprit de la ville millénaire ou la ville des sept collines et c’est pourquoi il y a de nombreux projets de construction ou d’aménagement dans Rome qui sont stoppés voir même arrêtés à cause de la découverte et l’existence de vestiges historiques sur les différents sites et parce que toute construction dans Rome doit respecter l’âme, la mémoire et l’esprit de Rome.

Couché du soleil sur la Place Saint-Pierre, Rome

La Basilique Saint-Pierre de Rome ou le Vatican

La Basilique Saint-Pierre de Rome, est située au Vatican, dans l’Ouest de la ville. Elle est l’église principale du catholicisme, son centre spirituel et aussi la plus grande. A noter qu’elle n’est pas la cathédrale de Rome puisque c’est Saint-Jean de Latran qui assure cette fonction. Son architecture, sa beauté et sa richesse en font l’une des étapes incontournables d’un séjour à Rome. Elle est construite à l’emplacement du tombeau de Saint-Pierre, apôtre du Christ, à proximité de l’ancien cirque de Néron dans lequel Saint-Pierre fut supplicié ainsi que de nombreux chrétiens. L’obélisque ornant la place Saint-Pierre provient d’ailleurs de ce cirque. Un petit édifice semble avoir existé dès le IIème siècle, en l’honneur de Saint-Pierre. Mais c’est l’Empereur Constantin qui fait construire à cet emplacement une grande basilique à cinq nefs à partir de l’an 319. Cette basilique était déjà richement décorée et a été restaurée et agrandie à plusieurs reprises.
Le Pape Jules II (1503 à 1513) demande à l’architecte Bramante de concevoir les plans d’une nouvelle basilique. Il choisit un plan en croix grecque (chaque branche de même longueur) avec une coupole en son centre.

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Dôme-Vatican 1,Rome

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Dôme-Vatican 2, Rome

La construction dura plus d’un siècle et les plus grands architectes et artistes de la Renaissance se succèdent tels que Raphaël, Perruzzi, Michel-Ange qui réalisa la grande coupole, Vignole, Giacomo della Porta, Carlo Maderno qui modifia le plan pour en faire une croix latine (la nef plus longue que le transept) et finalement le Bernin (qui était en charge de la construction de deux clochers, mais le premier s’effondra suite à une erreur de calcul…La basilique Saint-Pierre n’a donc pas de clocher. Le Bernin réalisa aussi la place Saint-Pierre et sa colonnade.

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Château Saint-Ange, Rome

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Château Saint Ange

Château Saint-Ange

Avec des vues imprenables sur Rome,  la structure d’origine de la forteresse du château Saint-Ange ainsi que celle du pont d’Elio (de nos jours connu comme le pont Saint-Ange) a été établie par l’architecte Demetriano entre 117 et 138 après J.C, pour le mausolée de la famille de l’empereur Hadrien. Au sommet, se dressait la statue de l’empereur, personnifié en dieu soleil et c’est en 271 des bastions défensifs sont ajoutés sur l’avant-poste des murs d’Aurélien, du côté du Tibre. En 1277, le château devient la propriété de l’église qui décide sa transformation complète en forteresse prison et le raccorda aux bâtiments du Vatican par le passage fortifié dit le « passetto ».

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Nuit  au Colisée

     Le Colisée

Centre antique de la ville au bord du Tibre, tous les chemins mènent à Rome et ce qui est certain tous les chemins mènent au Colisée. Le monument antique est d’une taille impressionnante, il est le symbole de la prestation architecturale des anciens romains, un espace qui a vu passer les plus grands gladiateurs de l’empire romain,  des représentations théâtrales et sportives  s’y déroulaient également avec une longueur de 186m sur une largeur de 156m, il était couvert et avait 57m de haut. Prés du Colisée se dresse le plus grand arc de triomphe de Rome: l’arc de Constantin.

Le forum romanum, photo perso

Forum romanum

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Forum romanum 1

Le forum romanum

Forum romain antique au pied du capitole. A partir de la place du marché se développa le centre monumental de la ville, des colonnes, des vestiges de temples, d’arcs de triomphes témoins du rayonnement mondial de Rome jadis. Au moyen âge il devient le fournisseur de pierre pour les nouvelles constructions et aussi de pâturage pour les animaux du fait du déplacement de la résidence de l’empereur qui se trouvait à côté.

Le panthéon de Rome, photo perso

Panthéon de Rome

Le Panthéon d’Hadrien

Rome 117-138, Construit avec la récupération de matériaux déjà utilisés. Il va servir de modèle pendant des siècles et des siècles, un monument massif  de 43m de diamètre sur une hauteur de 43m avec des portiques corinthiens, constitués de trois espaces qui viennent s’unir sur un principe de grande niche avec un dispositif de coupole à caisson dans lequel on retrouve 5 niveaux successifs, une utilisation de pierre volcanique pour avoir une composition assez légère de la coupole qui se termine par un oculus ouvert sur le  ciel.

le tempietto de Bramente, photo perso

Tempietto de Bramente

Tempietto San Pietro in Montorio

Qualifié de « bijou dans l’histoire de l’architecture du XVIème siècle » est l’œuvre de Bramante qui s’est installé  à Rome au début du XVIème. Il sera très  proche d’un pape qui règne de 1503 à 1513, courte période qui laissera le temps à Bramante de s’exprimer. Il essaie de faire renaître le style antique, le rénover, il va beaucoup travailler dans Rome. Selon divers auteurs  pour la conception du martyrium, Bramante s’est inspiré de l’architecture du Temple de Vesta soit celui de Rome, soit celui de Tivoli.

Ce  petit temple,  réduit dans son dimensionnement, a une  grande importance dans l’histoire de l’architecture de la Renaissance. Il est construit à l’endroit de   la  crucifiction  de Saint-Pierre. Reprenant  le modèle antique du temple antique circulaire avec des niches creusées  dans le corps du bâtiment, les petites colonnes sur  lesquelles  repose un tambour, le rythme est créé entre la masse interne creusée par les niches, soulignée par les pilastres et la couronne enveloppante de colonnes,  le tout réalise une pleine fusion plastique. Il faut noter aussi qu’une statue de Saint Pierre tenant les clefs du paradis se trouve dans une niche, en-dessous de celle-ci, nous avons un bas-relief qui relate le martyre du saint.

Villa Médicis

Vue sur la cours intérieure

Façade intérieure Villa Médicis

Façade intérieure Villa Médicis

Entrée Principale de la Villa Médicis

Entrée Principale de la Villa Médicis

Villa Médicis

Lors de la visite du quartier français de Rome nous sommes partis voir la célèbre  Villa Médicis qui pour moi doit être le lieu de « pèlerinage de tout étudiant d’architecture » à cause de ce quelle symbolise. Comme  l’eau de cette fontaine à l’entrée de la résidence, la Villa Médicis  est un espace très reposant, très calme avec des jardins et de très belles vues sur Rome et le Vatican très propice à la méditation et à la réflexion. Pour le temps d’un instant, j’avais le sentiment d’être aussi un lauréat du Grand prix de Rome et pensionnaire de la prestigieuse Villa Médicis qui avait accueilli des grands noms de l’architecture française, ne serait ce que pour le temps de la durée de notre visite (3 heures). Cette villa  est un ancien palais situé sur le mont Pincio à Rome qui depuis 1803 héberge l’Académie de France à Rome et qui est la résidence des lauréats du Grands Prix de Rome institué en 1663 afin de sélectionner les artistes qui seraient admis à séjourner à l’Académie de France à Rome, le concours était divisé en plusieurs catégories, sculpture, architecture, estampe, musique et peinture, cette dernière étant la plus prestigieuse.

Il faut retenir que c’est aussi à partir de 1803 que la Villa Médicis changea radicalement d’usage. Du palais privé, résidence secondaire occupée par la famille Médicis, elle devint le siège d’une Académie destinée à accueillir une vingtaine de jeunes artistes français qui y habitaient et y travaillaient en communauté. A voir absolument pour tout étudiant français en architecture en visite à Rome.

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Chute d’eau Fontaine Villa d’Este

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Villa d’Este

La Villa d’Este à Tivoli

Perchée sur les hauteurs avec des vues in prenables sur la campagne italienne, la Villa d’Este est un endroit merveilleux, magnifique, à couper le souffle qui nous laisse bouche-bée c’est-à-dire qui n’a rien à dire, sauf de vivre l’instant présent qui  s’offre à lui pour profiter du bon temps dans un endroit simplement  paradisiaque. Située dans la ville de Tivoli  près de Rome, est un chef-d’œuvre de l’architecture italienne et de l’aménagement de jardins. Dans la villa, les peintures des décorations intérieures sont l’œuvre de Livio Agresti de Forli. La villa contient ouvrages architecturaux de jardin très ingénieuses et novatrice pour son époque notamment des fontaines magnifiques et des bassins avec des jeux d’eau avec de forte et moins pression qui créent des ambiances paradisiaques qui a longtemps été l’icône indétrônable par les jardins italiens du XVIème siècle qui a servi de modèle pour de nombreux jardin en Europe à défaut de toute l’Europe. C’est aussi en 2001 que les jardins de la villa d’Este ont été classés patrimoine mondiale de l’UNESCO.   

Construite à la place de l’ancien couvent de Sainte-Marie Majeure, la Villa d’Este avec ses fontaines, ses jardins et ses terrasses construits entre 1550 et 1572 dates de la mort de son commanditaire le cardinal Hippolyte d’ Este, qui venait d’être nommé par le Pape Jules III comme nouveau gouverneur de la ville de Tivoli. Les fontaines et jardins sont alimentés en eau par des techniques d’approvisionnements dont les romains ont le secret depuis des siècles.

Cette Villa d’Este est qualifiée dans de nombreux documents comme:

L’une des illustrations les plus exceptionnelles de la culture de la Renaissance à son apogée.

Ses jardins ont eu une profonde influence sur le développement de l’architecture paysagère dans toute l’Europe.

Ses jardins reflètent de la façon la plus remarquable, les principes de la Renaissance en matière de conception et d’esthétique.

Ses jardins figurent parmi les premiers et les plus beaux des jardins des merveilles et symbolisent l’épanouissement de la culture de la Renaissance.

En claire, la Villa d’Este est incontournable dans un voyage dans la ville éternelle.

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basilique Saint-Clément

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pavage 4ème siècle

La basilique Saint-Clément

Parmi toutes les églises qu’on a visité, c’est celle qui m’avait  le plus marqué car elle est la seule qui  permet de traverser le temps et l’histoire de Rome pour de vrai, en permettant à son visiteur de découvrir 2000 ans d’histoire. Lorsqu’on visite la Basilique de Saint-Clément, on peut  admirer  des mosaïques spectaculaires et des fresques qui ont des siècles et des siècles d’existence, Voyager dans le temps à la découverte de la basilique du IVème siècle, VIIème siècle, puis descendre dans le monde du premier siècle de Rome, où il y a encore un temple païen, avec des siècles d’art et d’histoire qui attendent d’être découverts.

Pour la petite histoire, c’est une église paléochrétienne dédiée au pape Clément I. C’est une église très remarquable, car elle  fonctionne comme registre archéologique de l’histoire de Rome depuis les débuts du christianisme au moyen âge. La basilique de Saint-Clément est l’unique occasion qui permet d’effectuer une promenade à travers les siècles, c’est un temple magnifique, qui offre la possibilité de visiter les différents bâtiments construits à cet endroit au cours des siècles passés. C’est une expérience intéressante que tout jeune étudiant en architecture devrait vivre au moins une fois dans sa vie à défaut de plusieurs fois, pour une promenade à travers le passé.

À première vue, la Basilique de Saint-Clément peut sembler un temple comme le reste de ce qui se trouve à Rome, mais erreur puisqu’à   l’intérieur, s’y  trouve des trésors importants et inimaginables qu’on ne trouve nulle part ailleurs. La petite église a une riche décoration,  quelques mosaïques conservées du XIIème siècle qu’il faut impérativement voir. Grâce à la sacristie, il est possible d’accéder à l’église du IVème siècle, qui est un espace rempli d’obscurité, de froid et d’humidité où on peut encore voir une grande partie des fresques qui décorent les murs, ainsi que quelques fragments de mosaïques couvrant le sol du temple. Outre l’accès à la basilique précédente, on  peut aussi visiter les anciennes maisons romaines, en vieilles briques. Dans l’une des chambres, on peut voir l’eau qui coule à travers la « Cloaca Maxima », l’égout principal de la Rome antique en cours d’exécution, c’est simplement une sensation magique et éternelle.

Pour finir, un astuce pour parler italien pour celui qui ne connait  aucun vocabulaire d’italien,  qu’il peut  utilisé pour communiquer, astuce qui marche bien parfois pour l’avoir expérimenté, voilà: après une longue études  approfondie, une observation très avancée et une analyse microscopique de la langue italienne, j’en suis arrivé à la conclusion suivante: les italiens utilisent souvent les voyelles « i; o » dans la plupart des mots et phrases qu’ils emploient , exemples: Noms : BERLOUSCONI, MALDINI,  AMBROSINI,  MATERAZZI,  DONADONI, PANINI, FRANCESCO TOTTI, ROBERTO BAGGIO, GATTUSO ,..Du coup, il suffit juste d’ajouter: « NI et O » à la fin des mots et des phrases. Exemples: faire pipi= Pipinini; Manger= Mangénini; Marcher=Marchénini; Carabine=Carabiniéri ;……

Tout en espérant, que mon récit très court de ce voyage très instructif pour ma personne vous donnera l’envie de visiter la ville millénaire.

Mamadou Lanassy BAH

Voyage du samedi 28 mars au dimanche 5 avril 2015.

Bibliographie :

-Notes des Cours d’histoires de l’architecture à l’Ensa Nantes et de la conférence de bienvenue du professeur Perugini qu’on a eu à Rome.

-http://www.villamedici.it/fr/villa-

-http://www.rome-roma.net/chateau_rome.html

https://www.disfrutaroma.com/basilica-san-clemente

https://fr.wikipedia.org/wiki/Villa_d’Este

-http://whc.unesco.org/fr/list/1025