INTRODUCTION : HISTOIRE DE PARIS

Notre voyage se concentre sur Paris, surnommée la ville lumière, une cité protagoniste de la mode et du luxe. Cité capitale de la France et chef-lieu de la région Île-de-France.

Paris se trouve sur une île, en permettant traverser le fleuve de la Seine avec une voie qui relie le Nord et Sud des Gaules. Historiquement il y a plusieurs de raisons qui ont fait que Paris est une ville tellement importante. D’un part elle a été choisi capitale de la France à la place de Tournai par sa position au centre du territoire contrôlé par les rois Francs au VIe siècle. D’une autre part, placée au centre d’un territoire agricole fertile, qui permet à Paris avoir un climat humide et doux, Paris est devenue une des principales villes de France au cours du Xe siècle. Après, pendant le XIIe siècle l’université a permis à Paris de devenir en un des premiers foyers en Europe pour l’enseignement et les arts.

Pour son organisation elle est aujourd’hui divisée en vingt arrondissements qui se trouvent sur une boucle de la Seine (entre les confluents de la Marne et l’Oise), au cœur du Bassin parisien.

Actuellement c’est la ville plus peuplée de France et une des villes plus peuplée en Europe, mais elle a été il y a longtemps la plus peuplée d’Europe. Maintenant Paris compte avec plus de 2,2 millions d’habitants seulement dans sa commune et si on compte aussi avec son aire urbaine (l’agglomération et la couronne périurbaine) elle compte plus de 12,3 millions d’habitants.

En dehors de ça, elle reçoit chaque année près de trente millions de visiteurs, en se convertissant ainsi en une des capitales plus visitées au monde.

Paris est une ville très importante au niveau économique et commercial tant en France qu’en Europe (où c’est un acteur économique majeur). Avec sa banlieue, c’est la capitale économique et commerciale de la France.

LA TOUR EIFFEL

Nous commençons notre voyage par le monument qui est devenu le symbole de la capitale française: la Tour Eiffel. Construite à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris de 1889 par Gustave Eiffel et ses collaborateurs elle est située à l’extrémité nord-ouest du parc du Champ-de-Mars en bordure de la Seine dans le 7e arrondissement. Elle a été imaginée par Maurice Koechlin et Émile Nouguier, chef du bureau des études et chef du bureau des méthodes d’Eiffel & Cie respectivement. Le premier plan est réalisé en juin 1884 et amélioré par Stephen Sauvestre, l’architecte en chef des projets de l’entreprise, qui lui apporte plus d’esthétique.Elle été construite de 1887 à 1889, en deux ansdeux mois et cinq jours par 250 ouvriers, son inauguration le 31 mars 1889 a été l’occasion d’une fête de fin de chantier organisée par Gustave Eiffel.

À son origine appelé « la Tour de 300 mètres » elle a été ouverte au public le 15 mai 1889,  peu après de l’ouverture de l’Exposition universelle (qui a eu lieu le 6 mai de la même année), avec un succès immédiat malgré des critiques négatives formulées pendant sa construction. Elle est présentée comme preuve manifeste du savoir-faire technique français et a accueilli plus de 200 millions de visiteurs depuis son inauguration.

Cet important symbole de Paris mais aussi de la France, se trouve comme d’autres monuments parisiens, sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1991 et elle est devenue monument historique le 24 juin 1964, en étant aujourd’hui le monument payant plus visité du monde avec environ 7 millions de visiteurs chaque année. Elle est ouverte tous les jours de l’année et sur le site, actuellement dirigé par la société d’exploitation de la tour Eiffel (SETE) travaillent plus de 500 personnes.

Un sujet important pour comprendre l’impact qu’a causé cette construction ce sont ses dimensions. On doit tenir en compte qu’il s’agit d’une tour de fer puddlé qui avait, à son origine, 312 mètres de hauteur. C’est pour ça qu’elle est restée le monument le plus haut du monde pendant 41 ans et qu’il a porté, jusque la construction du Chrysler Building en 1930, le titre de « plus haute structure de monde ».

La hauteur de la tour a été augmentée plusieurs fois par des antennes qui ont été utilisées pour des expériences scientifiques et qui sont utilisées maintenant comme émetteur de programmes pour la radio et la télévision. Actuellement sa hauteur arrive, avec les antennes, 324 mètres.

Le premier étage se trouve à 57 mètres au-dessus du sol, le deuxième à 115 et le troisième à 276,13, avec des surfaces d’environ 4220, 1650 et 350 mètres carrés chacun qui peuvent supporter simultanément environ 2500, 1600 et 400 personnes respectivement. On peut tenir en compte aussi un « quatrième étage » (le second niveau du troisième étage) qui est située à 279,11 mètres au-dessus du sol en se convertissant en la plus haute plateforme d’observation accessible au public de l’Union européenne et la deuxième plus haute d’Europe.

D’autres dimensions importantes sont les arcs reposant sur les quatre poteaux, qui ont 39 mètres au-dessus du sol et un diamètre de 74 mètres.

Tour Eiffel depuis le Trocadéro

Tour Eiffel depuis le Trocadéro

LE CHAMP-DE-MARS

Avant d’arriver à la Tour Eiffel nous trouvons le Champ-de-Mars, un des plus grands espaces verts de Paris. Il s’agit d’un vaste jardin public, entièrement ouvert, situé entre la tour Eiffel et l’École militaire.

Avec ses 24,5 ha, il accueille les Parisiens et les touristes toute l’année autour d’un vaste ensemble d’activités.

Son nom vient du Champ de Mars romain (et donc du dieu romain de la guerre, Mars). Le 14 juillet 1790, il eut lieu la fête de la Fédération. Le 17 juillet 1791, s’y produisit la fusillade du Champ-de-MarsJean Sylvain Bailly y fut guillotiné le 12 novembre 1793. On y célébra la fête de l’Être suprême, le 8 juin 1794. Au centre de l’esplanade était dressé l’autel de la Patrie.

Champ-de-Mars depuis la Tour Eiffel

Champ-de-Mars depuis la Tour Eiffel

PALAIS DE TOKYO

Il n’y a pas besoin d’aller très loin, 13, avenue du Président-Wilson dans le 16e arrondissement de Paris, pour trouver une autre des icônes de la culture de la France, le Palais de Tokyo.

Le bâtiment est un important centre d’art moderne et contemporain qui a comme nom d’origine « Palais des Musées d’art moderne ». Actuellement est présidé par Jean de Loisy depuis 2011. Le centre d’art contemporain correspond au Palais de Tokyo et se trouve depuis 2002 dans l’aile Ouest du bâtiment, l’aile Est correspond au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.

Sur l’origine de ce musée on peut dire que c’est un des bâtiments permanents de l’exposition internationale de 1937, bien que son inauguration officielle date de 1947. Son objectif, selon son projet de 1934 était de remplacer le musée du Luxembourg d’alors et il a servi à son origine pour exposer une rétrospective de l’art français depuis de Moyen Âge.

L’idée de construire ce musée d’art moderne est celle d’Auguste Perret qui voulait une cité des musées à l’emplacement du Trocadéro, mais en 1932 il abandonne le projet suite à des problèmes avec l’exigüité du musée du Luxembourg. Après ça c’est Louis Hautecoeur qui veut promouvoir l’idée de construire un musée d’Art moderne. Ensuite, en 1934 c’est l’État qui prend le projet de construire un musée national d’art moderne. La Ville de Paris, propriétaire des terrains, s’étant engagée à garantir l’emprunt lancé pour le financement de l’Exposition internationale de 1937. En contrepartie, l’État accepte finalement d’assumer la construction de deux musées d’art moderne, tout en s’engageant à remettre l’un d’eux à la Ville de Paris pour soulager le musée du Petit Palais : celui de l’État à l’Ouest et celui de la Ville à l’Est.

Le Palais se trouve sur une partie du l’ancienne manufacture de tapis de la Savonnerie qui avait été transférée en 1826. La parcelle de l’ambassade de Pologne, au Sud-Est du terrain a été initialement épargnée par le projet et est expropriée dans sa forme définitive en 1935 et installé dans l’hôtel de Monaco (qui été acheté par l’État pour réaliser ce transfert).

Le projet est une idée de Jean-Claude Dondel, André Aubert, Paul Viard et Marcel Dastugue qui a surgi d’un concours dans lequel il a été choisi parmi 128 propositions, certaines d’entre elles d’architectes les plus reconnus de l’époque, comme Le Corbusier ou Mallet-Stevens.

Finalement, la proposition gagnante qui se trouve appuyée sur la colline présente un bâtiment qui prend lieu sur la terrasse dominant le fleuve et qui compte des hautes fenêtres vers le Sud sur la Seine et la Tour Eiffel. Son grand escalier monumental est décoré de bas-reliefs comme « Allégorie à la gloire des Arts » d’Alfred Janniot et des statues comme « La France » d’Antoine Bourdelle.

Le bâtiment compte deux ailes symétriques qui confèrent un style sobre et monumental à l’édifice. Elles sont reliées par un grand péristyle, de part et d’autre d’un axe perpendiculaire à la Seine.

Palais du Tokyo depuis l'Avenue du Président Wilson

Palais du Tokyo depuis l’Avenue du Président Wilson

ARC DE TRIOMPHE

En laissant de ce musée, dans le 8e arrondissement au centre de la place Charles-de-Gaulle, séparé par une distance qui peut se faire facilement á pied on peut trouver l’Arc de Triomphe. Un autre des plus importants et célèbres monuments de la ville de Paris. On peut montrer son escalier en colimaçon pour regarder d’en haut un de les plus beaux paysages de la ville. Nous pouvons sentir au centre même de la ville quand nous regardons les larges avenues qui s’étendent autour du nous en toutes les directions.Par l’avenue des Champs-Élysées, à 2,2 kilomètres se trouve la place de la Concorde. Ainsi, la place Charles-de-Gaule forme un énorme rond-point depuis lequel, quand nous sommes dans la partie haute de l’arc, on peut distinguer clairement les douze avenues qui rayonnent en étoile autour cette place. Elles ont été réalisées au XIXe siècle sous l’impulsion du préfet du département de la Seine, alors le baron Haussman. Parmi les plus importantes: l’avenue Kléber, l’avenue de la Grande-Armée ou l’avenue de Wagram bien que peut-être la plus connue est l’avenue des Champs-Élysées. Comme caractéristique remarquable de la place on peut voir depuis le haut de l’arc comme des trottoirs de différents couleurs dessinent deux étoiles sur le sol de la place. Les points de ces étoiles arrivent pour l’une au milieu des avenues, pour l’autre entre les avenues. Actuellement il est géré par le Centre des monuments nationaux et sur son histoire quelques données importantes que on peut dire sont que son nom d’origine c’est l’arc de triomphe de l’Étoile, le antique nom du la place Charles-de-Gaulle ou il s’élève, et que sa construction qui était décidée par l’empereur Napoléon Ier, débuta en 1806 et s’acheva en 1836 sous Louis-Philippe.  Les dimensions,  de cette icône sont une hauteur de 50 mètres, une largeur de 45 mètres et une profondeur de22 mètres. La hauteur de la grande voûte est de 29,19 mètres et sa largeur de 14,62 mètres. La petite voûte, mesure 18,68 m de haut et 8,44 m de large.

Arc de Triomphe depuis l'Avenue des Champs Élysées

Arc de Triomphe depuis l’Avenue des Champs Élysées

MAISON ROCHE-JEANNERET ET LOGEMENTS DANS 25 BIS RUE FRANKLIN DE PERRET

Nous continuons notre journée avec deux icônes moins visités par les touristes et peut-être un peu moins connu pour la majorité des gens mais très important pour l’architecture. La Maison Roche-Jeanneret et les logements de 25 bis Rue Franklin de Perret.

Maison Roche-Jeanneret

Ce bâtiment est œuvre de deux architectes: Le Corbusier et Pierre Jeanneret.

Dans la chambre puriste de Raoul La Roche, on peut rendre compte de l’importance pour Le Corbusier des cellules de la Chartreuse d’Ema (qu’il a découvert près de Florence en 1907).

Dans la salle à manger on peut trouver comme sujet spécialement intéressant l’importance dans le traitement de la lumière. La fenêtre en longueur, un des cinq points de l’architecture pour Le Corbusier, assure une répartition équitable de la lumière dans la pièce. De plus, elle est souvent couplée avec une solution de rangement, comme le bandeau de béton, peint en blanc pour renvoyer la lumière vers le plafond. D’un autre côté la porte d’accès à la terrasse est vitrée pour “aller chercher le soleil” au sud.

Un autre lieu où on peut trouver cette caractéristique propre de Le Corbusier (la fenêtre en longueur) c’est au-dessus de l’entrée où la grande fenêtre du hall laisse pénétrer un flot de lumière nord vers une longue passerelle. Ainsi cette lumière, constante au cours de la journée, rendant plus vivants les apports de lumière plus chaude, plus vive, provenant notamment de la fenêtre sud-est du petit hall d’étage.

On trouve la fenêtre en bande aussi dans la galerie de tableaux, espace d’exposition de peinture cubiste et puriste et salon. D’autres caractéristiques propres du vocabulaire plastique de Le Corbusier sont utilisées pour la première fois ici sont la courbe ou la rampe. La volumétrie de cette pièce est enrichie par l’adjonction d’une mezzanine.

La bibliothèque est un autre lieu où Le Corbusier fait de nouveau appel à la polychromie pour délimiter le volume. Sa disposition laisse pénétrer une lumière du nord baignant le mur blanc alors qu’un éclairage zénithal inonde l’espace d’une lumière vive. Depuis le mur d’acrotère en maçonnerie, qui sert au rangement des livres, on découvre le volume du hall dans une vue plongeante.

Le hall, qui se développe sur une triple hauteur, a un double jeu de circulations verticales (escaliers) et horizontales (coursives) qui permettent la multiplication des points de vue. D’un autre côté il y a une passerelle qui relie la zone “publique” (galerie de tableaux et bibliothèque) à la zone “privée” (salle à manger et chambre à coucher). L’aspect grandiose du hall est renfoncé par le volume bas qu’elle impose à l’entrée. Ainsi on trouve un espace central où s’articule la “promenade architecturale”.

Sur le toit, on trouve un autre des cinq points de l’architecture du Corbusier, le toit-jardin. Comme aboutissement de la “promenade architecturale”, la toiture-terrasse est traitée en jardin. D’un autre côté, un large auvent permet de s’abriter des intempéries et des écrans coulissants permettent de s’isoler des regards des voisins.

Dans le balcon sud-est, un acacia de la propriété voisine qui s’incline fortement vers la villa conduit Le Corbusier à créer un redan dans la façade sud-est pour le sauvegarder.

À mon sens c’est très frappant dans cette maison comme avec le jeu de peu d’éléments simples comme la lumière avec de différents fenêtres ou les volumes blancs et propres c’est possible créer des différents espaces agréables et de s’adapter a les différents besoins de chacun.

D’autre part je trouve intéressant le vide que se trouve sur nous en toute la hauteur du bâtiment quand nous entrons dans la maison. Ce vide et la manière dans laquelle les salles sont distribuées dans le différents étages autour lui donnent l’impression de que la maison est plus petite qu’elle est vraiment.

Peut-être une des salles les plus frappant de cette maison pour moi c’est le salon-galerie où on trouve la rampe, un élément peu commun dedans une maison mais qui obtient être en harmonie ici avec le reste de la maison et de la salle.

Logements au 25 bis Rue Franklin de Perret

Cet immeuble est tout à fait fondamental dans l’histoire de l’architecture moderne, il a trente ans d’avance sur son temps. Révolutionnaire par l’utilisation du béton, il provoque une grande polémique et figure parmi ceux qui ont marqué le début de l’architecture moderne. 

Auguste Perret montre les possibilités du matériau dans des formes nouvelles par l’emploi de poteaux et piliers en béton et de poutres formant la structure comme un squelette qu’il laisse apparent seulement revêtu d’un carrelage et  céramique lisse.

La structure commande et Perret justifie ses choix pour la structure en faisant référence aux cathédrales et à l’architecture gothique, dans laquelle « la structure commande l’aspect » de la construction. « Celui qui dissimule une partie quelconque de la charpente se prive du seul légitime et plus bel ornement de l’architecture».

Le bâtiment se trouve sur des poteaux, sans murs porteurs. Ainsi, Perret essaie de faire pour chaque étage un « plan libre » permettant aux habitants de disposer librement des cloisons des pièces. Presque aucun mur n’est porteur et ainsi les habitants peuvent dessiner leurs propres plans.

Les remplissages entre les poteaux sont revêtus de carreaux de grès flammés protecteurs et ornés par Alexandre Bigot avec dessins selon des motifs floraux inspirés par le style de l’art nouveau. 

Un autre caractéristique remarquable de ce bâtiment est la cour, normalement située à l’intérieur du bâtiment, les contraintes de la parcelle avec un terrain réduit et peu profond ont amené Auguste Perret à placer la cour à l’avant du bâtiment (ce qui est une autre révolution pour 1904).

Enfin, à l’arrière, les voisins ont refusé l’ouverture de fenêtres, ce qui permet à Perret assurer l’éclairage de la cage d’escalier par un mur-fenêtre en pavés de verre, ce qui est la première fois au monde et ce qui sera souvent repris dans l’architecture moderne.

Façade des logements 25 bis Rue Franklin

Façade des logements 25 bis Rue Franklin

AVENUE DES CHAMPS ÉLYSEES

Comme notre ascension du jour précédent à l’Arc du Triomphe invitait à le faire, aujourd’hui nous pointerons notre attention sur l’avenue des Champs Élysées, une des plus grandes et célèbres voie de Paris, considérée par beaucoup comme la plus belle avenue de la capitale et un autre des principaux lieux touristiques de la capitale.

Cette avenue  est l’axe historique de l’ouest parisien, et son tracé rectiligne offre une longue perspective depuis le palais du Louvre, jusqu’à l’arc de triomphe de l’Étoile, en passant par la statue équestre de Louis XIV dans la cour Napoléon du Louvre, l’arc de triomphe du Carrousel, le jardin des Tuileries et l’Obélisque. On peut trouver aussi, plus loin à l’ouest, en dehors de Paris, l’arche de la Défense.

L’avenue des Champs-Élysées se trouve dans le 8e arrondissement, dans le nord-ouest de la ville et elle compte 1 910 mètres, d’est en ouest, et s’étend de la place de la Concorde à la place Charles-de-Gaulle, au centre de laquelle se trouve l’arc de triomphe. Sa largeur est de 70 mètres (30 mètres de voies et deux trottoirs de 20 mètres chacun).

À l’est du Rond-point des Champs-Élysées-Marcel-Dassault, dans la partie inférieure des Champs-Élysées l’avenue présente des contre-allées. On trouve autour cette avenue les jardins qui sont appelés « Promenade des Champs-Élysées ». L’avenue traverse toute la longueur de ces jardins (environ 700 mètres), et sa largeur de 300 à 400 mètres est divisée en carrés (espaces rectangulaires) chacun (à l’exception du dernier) avec une fontaine qui a été construite suite aux aménagements effectués par l’architecte Jacques Hittorff en 18401847.

D’un autre côté, à l’ouest du rond-point, dans la partie supérieure de l’avenue on peut trouver une atmosphère plus orientée au loisir avec des importants boutiques de luxe et des lieus de spectacle comme des cinémas ; le Lido ; de célèbres cafés et restaurants comme Fouquet’s, parmi des autres lieux.

Pour finir avec la présentation de cette avenue et pour mieux comprendre son importance on peut dire que elle a inspiré la création des autres avenues autour du mode comme le Paseo de la Reforma à Mexico, la Avenida 9 de julio à Buenos Aires, la Benjamin Franklin Parkway à Philadelphie, et le Corso Sempione à Milan.

Avenue des Champs Élysées depuis l'Arc de Triomphe

Avenue des Champs Élysées depuis l’Arc de Triomphe

CENTRE GEORGES POMPIDOU OU BEAUBOURG

Une autre des grandes icônes de l’architecture en France. Non seulement par son apparence caractéristique extérieure qui le rend intéressant pour des touristes et des architectes mais aussi par son intérieur où nous pouvons trouver une collection importante d’art. Situé dans le quartier de Beaubourg, dans le 4e arrondissement, le Centre national d’art et de culture (CNAC), né de la volonté de Georges Pompidou, alors président de la République française. Il a été créé en vue d’obtenir deux buts fondamentaux.

D’une part, créer au cœur de Paris une institution culturelle originale entièrement vouée à la création moderne et contemporaine où les arts plastiques voisineraient avec les livres, le design, la musique et le cinéma. D’autre part, implanter au centre de Paris d’un équipement culturel d’un type nouveau, voué à toutes les formes de la création contemporaine.

Ainsi, ce centre se situait au carrefour des quatre préoccupations suivantes :

La première c’est la volonté d’enrayer le déclin de Paris sur la scène artistique et de lui conserver son statut de place majeure de l’art contemporain au niveau mondial, de plus en plus contesté par New York dans les années 60, 70. La deuxième c’est la volonté d’ouvrir la création française sur le monde et de favoriser, par l’interdisciplinarité, l’expression de nouvelles formes artistiques. La troisième c’est la conviction que l’art le plus contemporain peut renouer avec le public le plus large à la condition que la puissance publique joue pleinement son rôle de médiateur. Et pour finir la quatrième c’est le désir de créer à Paris un grand monument représentatif de l’architecture de la seconde moitié du xxe siècle, dont les réalisations dans la capitale avaient, jusqu’alors, été peu importantes ou peu notables.

Il conserve la plus importante collection d’art moderne et contemporain d’Europe et l’une des trois plus importantes au monde (avec celle du Museum of Modern Art de New York et de la Tate Modern de Londres). Il emploie un millier de personnes et a un budget annuel de cent millions d’euros dont 65 millions de subventions de l’État et il reçoit autour de 5 millions de visiteurs chaque année.

Il a aussi d’importantes galeries d’expositions temporaires, des salles de spectacles et de cinéma, et la première bibliothèque publique de lecture en Europe (la BPI). Les deux bâtiments annexes d’une et de autre part de la piazza accueillent l’IRCAM et l’atelier Brancusi.

À mon sens, peut-être une des choses les plus frappants de ce bâtiment c’est sa façade, protagoniste de la première image qu’on montre de l’édifice et plein avec la structure métallique de l’édifice ; et elle semble plus frappante encore si nous tenons en compte que ce n’est pas seulement décoratif si qui est formé par des éléments vraiment structurels ou des installations. C’est intéressant aussi monter dans l’escalier qui se trouve dehors l’édifice, dans cette façade, et qui permet regarder très bien la place et cette structure depuis différents points de vue.

Il me semble attrayant aussi dans cet édifice le contraste entre cette façade principale, toute remplie d’éléments structurels et éléments d’installations, et les grands espaces vides qu’on peut trouver dedans le bâtiment. Bien qu’on peut trouver dans ces espaces intérieurs aussi l’image industrielle caractéristique de cet édifice, par exemple avec les tubes d’installations que nous pouvons voir dans le toit de plusieurs des salles.

Extérieur du Centre Georges Pompidou depuis la Place Georges Pompidou

Extérieur du Centre Georges Pompidou depuis la Place Georges Pompidou

Intérieur du Centre Georges Pompidou

Intérieur du Centre Georges Pompidou

QUARTIER LATIN

Nous nous relâchons maintenant pour nous promener dans l’un des quartiers qui constitue une icône en soi même par le nombre élevé de repères touristiques et des endroits d’importance que on trouve ici.

Nous parlons du Quartier Latin qui depuis les années 1960 et particulièrement lors des événements de mai 1968, a été aussi l’un des centres névralgiques des divers mouvements de contestation.

Situé sur la rive gauche de la Seine dans le 5e arrondissement et dans le nord et l’est du 6e arrondissement, il est traversé par le « cardo de Paris » (axe nord-sud correspondant aux actuels rue Saint-Jacques et boulevard Saint-Michel). C’est le quartier de la Sorbonne et la montagne Sainte-Geneviève.

Historiquement fameux et important par la Sorbonne, l’origine de son nom vient de l’usage intensif du latin dans les cours de les écoles et universités médiévales du quartier. En fait, il est encore très fréquenté par des étudiants et professeurs à cause de la présence de nombreux établissements universitaires comme les universités issues de la Sorbonne, le Collège de France, les campus de Jussieu (qui rassemble les universités Paris VI et Paris VII), les centres universitaires du Panthéon et d’Assas, l’université Paris III Sorbonne Nouvelle ou la bibliothèque Sainte-Geneviève.

Plusieurs grandes écoles se sont également installées dans le quartier, comme l’École normale supérieure ou les Beaux-Arts, ainsi que nombreux collèges et lycées, souvent prestigieux et historiques comme Louis-le-GrandHenri-IV, Fénelon, Saint-Louis ou Notre-Dame de Sion entre plusieurs autres aussi.

Panthéon de Paris (Quartier Latin) depuis la rue Soufflot

Panthéon de Paris (Quartier Latin) depuis la rue Soufflot

CONCLUSION

On a vu pendant notre promenade par Paris son importance architecturale pas seulement par les icônes typiques qui ont devenu symboles de cette ville, comme la Tour Eiffel ou l’Arc du Triomphe, mais aussi par beaucoup d’autres icônes moins connus mais vraiment intéressants si nous avons l’opportunité de les étudier. Beaucoup d’eux sont aussi importants par exemple par la révolution qui ont provoquée autour une ou plusieurs de ses caractéristiques pendant sa construction (comme les logements au 25 rue Franklin d’Auguste Perret) ou par son importance dans le monde de l’architecture (comme les bâtiments de Le Corbusier per exemple la maison Roche-Jeanneret). C’est important tenir en compte que tous ces bâtiments, bien que moins connus, sont aussi responsables et très importants pour la richesse culturelle de Paris.

Selon mon opinion, d’autre caractéristique intéressante qui permet voir la richesse culturelle de Paris c’est comme tous ces icônes que nous avons vu sont répartis par Paris. Ainsi, on a vu que pendant une promenade il y a beaucoup des quartiers ou des arrondissements où on peut trouver des icônes intéressants, bien que quelques d’eux ne sont pas très connus. Je pense que ça c’est une autre preuve de que la richesse de Paris est encore plus grande de ce qui paraît.

María Clares Villa

Voyage du 22/03/13 au 24/03/13

bibliographie :

Textes :

  • Cahier de notes du voyage
  • Livre de la matière « Projet 1 ».

Livres :

  • Titre : Paris, Ed.: Guiarama Espiral.
  • Titre: Guía Total. París 2005-2006, Ed.: Anaya. Touring Club.
  • Titre: Guía Azul. El mundo a tu aire. París, Ed.: Ediciones Gaesa.

Sites Web: